« Lorsque j’avais découvert le Domaine sans nom, j’étais à une hauteur, à un degré de perfection et de pureté que je n’atteindrai jamais plus. Dans la mort seulement, comme je te l’écrivais un jour, je retrouverai peut-être la beauté de ce temps-là… »
Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, 1913 « Il fut un temps où le cinéma sortait des arbres, jaillissait de la mer, où l'homme à la caméra magique s'arrêtait sur les places, entrait dans les cafés où tous les écrans ouvraient une fenêtre sur l'infini. Ce fut le temps de Louis Lumière »
Henri Langlois, fondateur de la Cinémathèque française « Je t'aime sans savoir comment
Ou même d'où, depuis quand Je t'aime de tout mon cœur d'un amour modeste et pur Ainsi je t'aime car je ne sais que t'aimer Nous sommes tels que mes mains de tes doigts se prolongent Si proches que lorsque tu fermes les yeux le sommeil me gagne -- » Pablo Neruda | Maxime | le train qui filait vers Galaure |
« La plupart du temps, nous mourons de faiblesse, nous mourons de ne rien oser »
Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, 1913 L'Adieu.
« J’ai cueilli ce brin de bruyère L’automne est morte souviens-t’en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t’attends » Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 |